On se bouscule au portillon pour déposer leurs candidatures pour les prochaines présidentielles comme on se bouscule devant une porte du stade de Mahamasina pour voir l’ouverture des JIOI. Le poste à la magistrature du pays est très convoité par les politiciens suite à la décision des instances juridiques d’accepter la nationalité Malagasy de Vazaha.
Allons chers candidats et candidates: Vous allez affronter le diable en personne pour cette initiative et la population va encore subir les conséquences d’une grande crise sociale. Si Vazaha serait en lice, toutes les institutions seraient à ses côtés, et ce serait la pagaille que le pays n’aurait jamais vécue. Ses adversaires rouspèteraient mais il y aurait de nouvelles lois et des décrets « bidon » comme d’habitude. Adieu les cautions! Et vive les affrontements! Avec la misère et la pauvreté, le pays va sombrer…
Pourquoi se bousculer au portillon pour les présidentielles ? C’est devenu une habitude et on ne pense pas aux conséquences. Il y aurait des morts et des blessés. Vazaha regarde de loin et ne se soucie pas. L’humanisme ne figure pas dans sa ligne de conduite et de comportement moraux pour être à la tête du pays. « J’y suis, je reste. Si vous ne comprenez pas aujourd’hui, vous le saurez plus tard »
La bousculade pour devenir président de la République est ridicule dans la mesure où la pauvreté demeurera l’héritage. Ce serait difficile de remonter la pente et atteindre une courbe acceptable. Vazaha ne serait plus élu dans la logique des choses. Il a mal gouverné et a favorisé à l’avantage de la France, étant naturalisé français en 2014. Il a mis le pays dans une pauvreté extrême que la population entière n’a jamais vu.
Les joutes électorales sont ouvertes. Les favoris sont en lice, mais l’organisation n’est pas à leur faveur.
L’Apogenies a donné de bonnes idées pour des élections justes et acceptables. On préfère se bousculer !
