Madagascar possède des richesses inestimables qu’il faudrait exploiter à fond. Tsimiroro fait partie du lot, incontestablement, la production d’huile lourde et ses dérivés ne seront jamais utilisés à bon escient pour des raisons « inconnues ». Or, il est temps d’en profiter pour sauver la Jirama. Des opérateurs économiques du secteur pétrolier ont préféré importer le produit à leurs avantages, délaissant Tsimiroro.
Si la société nationale Jirama dépense en ce moment beaucoup d’argent, c’est à cause de l’achat de cette huile lourde. Or, Tsimiroro est là pour sortir du gouffre financier. C’est une solution urgente si vraiment le pays veut sortir de la pauvreté. Prenons en main la Refondation et utilisons nos propres ressources. Nettoyons tout le système, débarrassons-nous de l’emprise étrangère et ayons la fermeté dans nos actions. C’est le seul moyen pour sauver la Jirama.
Nous n’allons pas dresser le bilan négatif de ceux qui sont partis, ni leur bavardage ni leurs promesses. Prenons en main l’avenir. Tsimiroro appartient aux malgaches, et c’est un droit de reprendre ses terres. Chassez les étrangers qui veulent déposséder de nos biens sur notre territoire. Ce sont eux qui sont responsables de la pauvreté de la population.
Tsimiroro représente des millions de barils d’huile lourde. Ne laissons pas passer cette richesse entre les mains des étrangers. La Jirama en a besoin, profitons-en. Et si on parle de richesses naturelles, Madagascar en regorge, partout. Comme l’or et les pierres précieuses. Avec un peu de sérieux, le développement réel pourrait bien démarrer. Tsimiroro veut dire « Ne dort pas ! ».


