La presse est muselée en ce moment. Dernièrement, un président d’une institution a “giflé” par des mots méchants un journaliste qui l’a interviewé. Puis les deux journalistes qui ont accompagnés Élia Rabevahiny de Otrikafo, ont été obligés de restituer leurs reportages, photos et docs aux gendarmes avant d’être libérés à Benenitsy…