À huis clos. Les parlementaires ont discuté avec les autorités financières de leurs avantages à l’assemblée nationale. Oui, mais c’est médiatisé. À côté, un Peuple soumis qui a perdu sa dignité, son honneur, sa liberté, ses droits fondamentaux, vivant dans la pauvreté extrême et la dictature. Et en face, les mauvais gouvernants qui soutiennent un Roi et ses complices qui détruisent un pays, dilapident ses biens et ses richesses, et favorisent la corruption avec les trafics en tous genres. D’ici peu, Madagascar ne serait plus rien, vidé et ruiné totalement.
Ce cliché est réel, dommage pour notre beau pays. Les étrangers sont impliqués dans ce chaos désolant, la France en première ligne, puis les Karana. Ces derniers sont discrets mais soutirent l’économie locale dans son intégralité.
L’opposition essaie de contrer, mais elle présente une faiblesse avec les divergences d’idées qui controverseraient leur unité.
Dans tout ce chaos, les députés que le Peuple à choisi pour leur représenter, ont oublié leurs paroles et leurs discours durant leurs propagandes. Déception ! Au lieu de satisfaire ceux qui l’ont mis sur les fauteuils de Tsimbazaza, ils réclament leurs avantages. On a rien à cirer des sous impayés, mais pensez aux gens qui ont faim, qui vivent mal, sans eau ni électricité, sans pensions, sans emplois, sans abris. Des gens soumis à la dictature du Roi…
Charité bien ordonnée commence par soi-même dit-on. Soit. On ne croit plus aux députés, des égoïstes.
