Si rien n’a été déclaré entre Mme la PAN et le Collectif des candidats, il est clair qu’il y ait eu une bonne entente. Il est à rappeler que Vazaha a fait pleurer cette grande Dame après la Motion de censure signée par les 105 députés à l’endroit du Premier ministre Ntsay Christian. On ne fait pas pleurer une « Raiamandreny » qui a toutes les honneurs dans sa fonction de présidente de l’Assemblée nationale. Son dernier discours lors de l’ouverture de la dernière session parlementaire visait les hommes au pouvoir, dont Vazaha, pour revenir à la raison.
En tout cas Mme la PAN a fait entendre une « entente » dont les précisions n’ont pas été révélées après la rencontre avec le Collectif des candidats. En tout cas, on s’y met à la grande marche pacifique à la Place du 13 Mai pour ce samedi. Ce sera le clou de cette lutte contre les décisions de la HCC d’avoir accepté la candidature de Vazaha.
De son côté, la CENI continue la distribution des cartes électorales au niveau du territoire. Est-ce que cette institution indépendante fait semblant d’ignorer la nationalité de Vazaha? Messieurs les membres du CENI, vos listes électorales sont fausses, car il y a un Vazaha. Est-ce qu’il a le droit de voter? Faites attention, un étranger est dans la liste électorale dans le Fokontany d’Ambatobe.
Le pire? Il est candidat aux présidentielles. Et il est déjà en pleine propagande. Quel pays! Un Vazaha en propagande pour les élections présidentielles à Madagascar ? Oui, la HCC et toutes les institutions valident cette candidature. Quelques groupes de la population sont payés pour assister aux manifestations de Vazaha. Quoi ? Oui, on les « achète ». Hallucinant !
Vazaha, c’est fini l’esclavage. Le monde entier connaît vos bêtises. Ayez honte ! Vous avez déjà blessé beaucoup d’innocents et même des personnalités dans cette affaire dont votre nationalité ne concerne personne, mais c’est anticonstitutionnel. N’insistez pas, ne tuez plus, la population a déjà du mal à survivre contre la faim et les maladies. Le pays sombre dans le chaos. Ces hommes en tenue que vous commandez sont payés par l’Etat Malagasy, par les contribuables. Si vous tuez, vous avez vaincus la pauvreté à Madagascar. Par les armes cette fois, un « velirano » réussi !
