Pour éviter les doléances et les confrontations des résultats électoraux, la CENI, bête comme est, sort très vite les conclusions du vote communal, prévues avant le 24 décembre. C’est une feinte, digne d’un Messi pour marquer les buts. Un petit coup à droite, un petit retrait, et tout de suite à gauche et le tir décisif. C’est la CENI pour tromper les adversaires du parti au pouvoir. Ainsi, l’opposition ne pourrait pas omettre leurs réclamations sur le vote truqué, car les dés pipés, sont jetés.
Il faudrait maintenant avoir recours à d’autres issues véridiques pour ne pas accepter le scrutin faussé. Les listes des ordonnances émises pourraient être un bon alibi des fraudes dont la CENI en est le responsable numéro un. Il y en a beaucoup de cas sur cette ordonnance, qui a bouleversé le vote communal. Une première dans le monde ! Nous sommes champions dans le « ridicule », à l’exemple d’un candidat de nationalité française.
Quoi qu’il en soit, les élections à Madagascar ne valent plus rien. Ce n’est plus la peine de voter et on comprend pourquoi le taux de participation est en baisse, et pourquoi on ne s’intéresse plus à la politique. Mais le Roi de Madagascar est fier, content d’avoir réalisé un score percutant pour son parti IRMAR. Mais dommage, qu’on a acheté les voix du peuple, et on a utilisé des ordonnances « bidons », on a fait travailler les sujets et les matériaux des divers ministères du Roi de Madagascar. Ainsi, les dominés acceptent et ne disent rien, affaiblis par la faim et la peur.
Qu’est qu’on mijote du côté des adversaires ? Avec la colère, la tension est à l’extrême. Mais, il y a des attitudes douteuses. Le penchant vers le Roi de Madagascar est perçu d’une oreille, frisant une entente « silencieuse » concoctée depuis 2023. Pourquoi, on a laissé faire les ordonnances ? Cette friction au sein de l’opposition va durer jusqu’à quand ? Le peuple a faim…
