Forcing !

Les fonctionnaires sont obligés d’assister à la propagande de Vazaha. Quoi ? Oui, sinon ils sont révoqués ou frappés d’affectation disciplinaire. C’est insensé Vazaha ! Cette pratique coloniale ne devrait plus exister et c’est pourquoi les Droits de l’Homme ont été élaborés.

Madagascar pratique encore le système « esclavagiste » où la loi du plus fort est toujours la meilleure. Vazaha se croit le plus fort, imbattable, le plus riche et le plus intelligent, fin stratège politique. Tous les fonctionnaires sont à ses pieds, tous les ministères et toutes les institutions, sans oublier les forces de l’ordre. Mais il n’est plus chef suprême de l’armée. Vazaha tient entre ses mains la Presse, avec la complicité de Crésus et l’ancienne « pilier du Gouvernement ». Vazaha et Crésus sont les maîtres de l’Economie avec les Karana et les français. Bref, tout est Vazaha.

La pauvreté à Madagascar est signée Vazaha, naturalisé français, de père et mère Malagasy, et son fœtus est à Antsirabe. Il veut régner dans son pays en « forcing », ignorant les lois en vigueur et sans respect des Droits humains. Il détourne les lois constitutionnelles à son gré.

Pour ces élections présidentielles, ils sont deux à parcourir le pays: l’orange et le citron. Deux « amis » du trafic d’or, dépensant sans compter aux yeux de la CENI dans une propagande « illégale ». De son côté, Crésus est à la recherche d’autres alliés promettant monts et merveilles afin que le Collectif des candidats s’affaiblit. Mais ça ne marche plus l’achat humain sauf à l’Arena. Et sachez que les fonctionnaires se prononceraient par la voix des urnes. Pas de forcing Vazaha. Vous n’êtes pas éligible aux yeux du monde entier.

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