Les guerres se suivent mais ne se ressemblent pas. La Russie envahit l’Ukraine, les européens donnent des sous pour acheter des armes, et Poutine mène la danse, fait le chaud et le froid dans cette Asie centrale. Un jour, il tombera, tôt ou tard, comme Hitler. En Afrique, les luttes contre les invasions terroristes font rage, et la France quitte le Mali. Macron décide du sort des africains.
A Madagascar, les cyclones envahissent le pays et le Grand dirigeant est désemparé, n’arrive pas à rétablir la situation. Les problèmes sont partout au niveau du Gouvernement, des ministres et des élus font ce qu’ils veulent et créent le chaos. La corruption se dévoile au soleil et la honte de la mauvaise gouvernance est connue du monde entier. La pauvreté est une autre guerre interminable.
On réclame l’ouverture des frontières pour sauver le secteur touristique à Madagascar. Le Grand dirigeant décide de tout. Mais ce n’est pas réciproque, car la France ferme ses portes par l’intermédiaire de TLS-Akorondrano et le Consulat de France, via le Conseil financier d’Iavoloha. Refus de visas ! Ce manque de réciprocité n’est pas au point. L’insécurité est au maximum dans le pays et les touristes étrangers refusent de venir bien que les hôteliers font tout pour sauver l’honneur.
Les PTF profitent de la situation au pays pour augmenter les dettes à contracter, par coopération interposée. C’est le moment, car tout est en pagaille avec les cyclones, l’insécurité, la corruption, la mauvaise gouvernance, le comportement des ministres et les élus ainsi que les promesses présidentielles non-tenues. Rien ne va plus à Madagascar à la veille des élections présidentielles où les listes électorales sont le thème es débats médiatiques avec un CENI incertain, alors que la diaspora de France devrait être présente dans ces listes. Pagaille dans une ambiance de guerre !
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