Jamais dans l’histoire de Madagascar, un tel scrutin comme celui de ce 16 novembre 2023, s’est tenu. On ne constate que des irrégularités et de la corruption élective. Vazaha a tout préparé pour gagner mais dans l’illégalité. Comme toujours, il n’a jamais été clean et juste dans les affaires étatiques, et cela a entraîné des troubles. Sa nationalité française est déjà significative pour vouloir gouverner le pays, mais ce n’est plus possible. Et voilà que la CENI force le scrutin à son avantage. Ils étaient trois qui étaient affichés publiquement, le reste ne veut rien connaître des élections. Et on a décidé d’aller en avant avec cette faille anti-démocratique et anticonstitutionnelle, étant donné que les élections sont mal parties.
Comment accepter un tel scrutin ? C’est intolérable ! La HCC et la CENI veulent aboutir vers la victoire inacceptable de Vazaha. C’est une crapulerie et Madagascar est mal vu du monde entier. Et les bailleurs de fonds traditionnels ne pipent un seul mot comme si rien n‘était. Accepte t-on la dictature ? Oui, pour mieux exploiter les richesses dans la pauvreté. Les dettes sont des accords financiers pour permettre la mainmise d’un pays affaibli par les détournements de deniers publics et la corruption. Madagascar ne sortirait jamais de ses créances dans plusieurs décennies, alors que tous les moyens sont favorables pour le développement. Mais, Hélas !
La mauvaise gouvernance et l’incapacité de discerner le bien du mal frappent les hommes du pouvoir. Il n’y a plus la volonté d’aller en avant, mais d’accaparer les richesses illégalement et laisser la population dans la pauvreté totale. Egoïstes ! Il est temps de ne plus accepter les mauvaises choses. Ce qu’a fait le Collectif des candidats, reniant les élections. Dirigeons-nous vers la légalité et unissons nos forces pour le changement. N’acceptons pas le désordre et le chaos car Madagascar est béni de Dieu, notre « Zanahary » !
