Premier !

Le premier édito de l’année est dédié aux lecteurs, annonceurs et partenaires, fidèles depuis les cinq années d’existence après le Covid. Merci et Bonne Année 2025 ! Merci également aux curieux, qui veulent savoir mais qui n’ont pas encore compris l’agiotage du site AMP. Il ne s’agit pas de critiquer bêtement ce qui se passe, ni de contrer la politique gouvernementale, ou encore lancer des piques aux dirigeants, mais de sortir les sursauts du cœur et de la raison pour un développement réel du pays. L’AMP n’a pas besoin de beaucoup de lecteurs, mais des têtes penseurs qui puissent trouver des solutions pour sortir le pays de l’impasse. Pour cela, nous remercions, à cette occasion du Nouvel an,  les agences étrangères qui nous relient vers l’Europe et le monde entier pour faire connaître les réalités du pays, elles se reconnaissent elles-mêmes. Nous sommes reconnaissants envers vous !

Comme nous le savons, rien ne va plus à Madagascar. Nous n’aimons pas trop citer les maux qui minent éternellement pour arriver à la pauvreté. Mais nous voulons faire connaître qu’il existe un « Peuple, une Civilisation, une Culture, un Etat indépendant » qu’il faudrait sauver de la catastrophe. Qu’importe le responsable, mais c’est une urgence. C’est un Appel mondial ! Les dirigeants de ce monde devraient se donner la main pour secourir Madagascar, dont la dérive est imminente. Allons-nous finir comme les autres pays africains, devenus des déserts dus à l’erreur humaine ?

« Premier » avons-nous titré cet éditorial. Oui, nous voulons être le premier pays à chercher des voies et solutions  pour sortir des difficultés qui subissent nos populations. Nous voulons devenir le « Premier » pays développé de l’Océan indien ; nous aspirons à être le « Premier » pays agricole de la région, en riz particulièrement, comme avant 1960, 20 francs le kilo. Le prix du kilo actuel avoisine les 20.000 francs. Est-ce normal ? On se vante être le troisième producteur de riz en Afrique. Laissons les vantardises dans vos valises, comme les meilleurs entrepreneurs, leaders ou autres en Afrique. Que pourrait faire la SADEC, dont nous porterons la présidence cette année ?

Soyons les « Premiers » à réagir, et en vitesse. Les bavardages ne marchent plus. On recherche le concret et l’efficacité. C’est l’objectif de 2025, sinon, on, quitte l’arène pour d’autres têtes plus intelligentes. Nous ne voulons plus être « premier » des pays pauvres du monde.

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