Vazaha lance des menaces, ayant toutes les forces entre ses mains. Le Collectif des candidats ne baisse pas les bras pour une cause pacifique. Jamais le pays n’a connu une situation pareille où le Fihavanana est bafoué dans tous les sens. C’est fini la fraternité traditionnelle qui se termine toujours par la sagesse et le respect. On recherche en ce moment un accord politique. Jamais Vazaha n’accepterait cela, jamais ! C’est un putschiste, dictateur, karateka, grand bâtisseur et DJ… Dommage qu’il a emmené Madagascar dans la pauvreté, l’objectif de la France coloniale. Il est français malgré tout.
Pour des élections présidentielles libres et acceptées par tous, Vazaha ne veut pas perdre sa place pour un autre car c’est l’ordre de la France.
Madagascar ne retrouverait jamais la prospérité et le développement réel. Il faut empêcher le Collectif des candidats pour qu’il se présente aux élections. « Personne ne m’arrêtera » a lancé Vazaha.
Mais les adversaires politiques sont confiants que les lois doivent être respectées à la lettre. La population est derrière eux, malgré tout.
Ce jeudi, le départ se fera à la Cnaps. La vache à lait de Crésus et de tous les dirigeants. Rebelote !
