Accidents mortels !

On enregistre en ce moment beaucoup d’accidents mortels sur les routes nationales. Il n’y a pas un jour où il n’y pas d’accidents routiers. La RN 7 tient la première place, puis la RN 4. La plupart sont des taxi-brousses transportant des passagers, des vacanciers ou des migrants. La plupart des causes des mésaventures sont mécaniques, des freins qui ne répondent plus ou autres. Les cas sont nombreux et le constat s’avère que beaucoup de véhicules manquent d’entretien ou de contrôles avant d’entamer le voyage.

À entendre les conducteurs, les propriétaires des cars n’arrivent plus à entretenir leurs véhicules à cause du temps où il fallait partir sur les lignes de départ. « Des fois, il n’y a pas de communication entre les chauffeurs qui se relayent, et les derniers sont les victimes des pannes techniques. Ou encore, des propriétaires n’ont plus les moyens d’acheter des pièces neuves et se contentent des occasions qui se présentent, mais qui ne tiennent plus longtemps. Les pièces neuves coûtent très chères en ce moment.

Mais les accidents peuvent arriver sur la technicité des conducteurs qui manquent d’expérience sur les routes. La plupart ne connaissent même pas le trajet ni l’état des routes, et s’aventurent qui qu’il en soit, pour gagner quelques sous. Mais quand la malchance arrive, ce sont les passagers qui souffrent. Cette manque de professionnalisme peut même causer des morts. En tout cas, c’est le ministère des Transports qui est montré du doigt. Pourquoi donner des autorisations de transport pour de fausses coopératives qui manquent de la rigueur sur les routes ? Où sont les contrôles ? À compter le nombre des accidents et des cars qui tombent en panne sur les routes nationales, on doute sur le professionnalisme des transporteurs.

Mais le problème, c’est le nombre élevé des morts accidentés de la route. C’est malheureux ! Les passagers n’ont pas voulu cette mort subite, mais ce sont les conducteurs qui l’ont causée. À combien vont s’élever les assurances ? Il n’y en a pas, c’est fait à l’amiable… Ceux qui sont épargnés vont rester des jours sans manger au bord des routes, attendre et attendre un autre car qui va les emmener chez eux.

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