Un Vazaha Leadership de la France. La Banque mondiale a visé juste pour la définition de la terminologie. Un leadership devrait avoir quoi comme bagages intellectuels ? De la rigolade de la part de la banque financière des pays pauvres. Il reste à savoir si cette institution examine, analyse et étudie les dossiers des leaderships des pays pauvres ? Puis d’évaluer les résultats. À priori, Madagascar se classe parmi les derniers pays en matière de développement et le plus endetté. Des milliards de dollars à rembourser à la Banque mondiale. Et le dirigeant Vazaha est le mieux côté. Le discours de Vazaha lors de la récente réunion qui s’est tenue dans un pays africain n’était que mensonge et rêve. Madagascar est toujours pauvre et endetté.
C’est normal dans la mesure où le pays est gouverné par un étranger, malagasy de sang. Un français qui n’a fait que favoriser les intérêts de la France. Et la Banque mondiale accepte cette situation rocambolesque. La SADEC, en même temps en visite à Madagascar est à l’écoute de la HCC. Cette dernière, une institution qui n’a pas sa place, renvoie la balle à la Justice. Or, c’est elle qui a accepté la candidature de Vazaha aux présidentielles de 2018. Encore de la rigolade !
Nous n’avons rien à voir de la nationalité des personnes, mais du moins, un étranger, en occurrence Vazaha n’a pas le droit de gouverner Madagascar. C’est pourquoi, rien ne va plus. Tout le monde a été berné, trompé, dupé, escroqué et surtout embobiné par un français. Et on laisse faire. Hallucinant ! Il est devenu leadership de la Banque mondiale… Le problème actuel est de savoir la suite des évènements. Ce serait encore une bombe pour cette année 2023, dont nous avons annoncé depuis janvier que nous verrons des choses incroyables que le monde n’a jamais vu. En tout cas, les élections présidentielles ne tiennent plus la route. Réorganisons tout Mesdames et Messieurs, et soyons honnêtes pour rehausser notre pays. Un Vazaha n’a pas sa place dans une situation de pauvreté extrême.
