Les coupures d’électricité dépassent les bornes avec les fréquences accrues. Des quartiers sont dépourvus du courant électrique durant des heures successives et des fois une reprise à un voltage très bas qui affecte les appareils ménagers.
Certes, les usagers peuvent comprendre la situation actuelle dont l’état des machines ou autres problèmes techniques mais c’est une excuse non fondée qui frise l’incapacité. C’est l’État qui est montré du doigt, ne trouvant pas des solutions adéquates pour servir les usagers.
Quoi qu’il en soit, cette faille de la Jirama cache une magouille à l’endroit des consommateurs qui viennent de recevoir leurs factures récemment. Pas de changement sur les prix à payer, peut-être même des augmentations. C’est du vol que le Grand dirigeant laisse passer comme d’habitude. C’est la population qui encaisse les conséquences. Les appareils ménagers sont détruits par l’inconstance de l’intensité du courant et la Jirama évite de rembourser les casses.
Ce qui est ridicule dans cette tragédie de cette société d’État, c’est qu’on leur offre toujours des aides et des appuis financiers des institutions internationales dont le montant n’est plus calculable. Cette société n’est plus crédible et devrait arrêter ses activités. C’est une honte! D’autant plus qu’elle sert de vache à lait pour l’État.
Les entreprises ne fonctionnent plus régulièrement avec ces coupures fréquentes et dévastatrices. D’ici peu, beaucoup seraient en faillite. Les élèves ne peuvent plus faire leurs devoirs de classe le soir et point de lecture et de révision.
Fallait-il revenir au charbon de bois? Mais oui! On va couper les arbres. En tout cas, le sac de charbon ne cesse d’augmenter.
Bravo Jirama! Vous démontrez la vraie pauvreté et la mauvaise gouvernance. Pour l’eau, c’est la même galère. Seul le Grand dirigeant peut se laver et nager dans sa piscine. Il ignore les bidons jaunes et les bougies. « Votez Orange! » Pour le moment, on vit la nullité…
