Obtenir des sièges à l’Assemblée nationale est la préoccupation des partis politiques dont l’élu du Peuple, citoyen français y tient personnellement afin de réconforter son pouvoir. De son côté, l’opposition se démène de toutes ses forces pour obtenir la majorité parlementaire dans l’objectif de destituer le dictateur en place et de sauver le pays de sa situation de pauvreté extrême.
Mais ce n’est pas facile quand on a déjà essuyé un échec lors des présidentielles où le mouvement du collectif des candidats n’a pas abouti à faire tomber le candidat français, aidé par la HCC et le CENI. Oui, c’est difficile quand les forces en présence sont inégales. Les choux-fleurs ne peuvent rien face aux armes automatiques. Et le mouvement populaire ne peut aller loin avec le ventre vide.
On s’attelle maintenant à la course aux sièges pour Tsimbazaza. Trois grandes formations sont en lice, les IMAR de l’élu du Peuple, citoyen français, l’opposition avec deux groupes, Firaisankina (Ravalomanana) et Kolektifa (Comité) et enfin les Indépendants. Ces derniers sont les exclus des partis ou de nouvelles têtes qui pensent changer le pays. Mais, ces indépendants sont généralement des alliés du pouvoir en place qui perturberaient les voix. Ils sont soutenus par Crésus, financier de l’élu du Peuple, citoyen français.
L’opposition présente des difficultés financières et matérielles malgré tout, mais elle s’efforce à gagner à tout prix.
En tout cas, étant des élections de proximité, la population décide de la situation. Ceux qui étaient au pouvoir auront du mal car ils ont fait souffrir. L’opposition est bien placée pour le changement.
Tenez, l’ancienne PAN bottée revient en force. Ce qui va ridiculiser le pouvoir en place. L’élu du Peuple, citoyen français va-t-il réagir ? La honte ! La femme respectée et respectable aurait sûrement un siège à Tsimbazaza. Incontestablement !
