Les agissements de l’élu du Peuple, citoyen français dépassent les lois en vigueur. Les inaugurations en période électorale sont interdites selon la HCC, mais elle ne bouge pas les doigts. En outre, l’utilisation des agents de l’Etat et des matériels publics n’est pas dans les règles de l’art électoral. Puis les pressions sur les fonctionnaires de voter pour les candidats de l’IRMAR dépassent la liberté individuelle et les droits humains. Tout compte fait, rien ne va plus et les lois constitutionnelles sont encore bafouées. On se souvient des élections de l’année dernière où la HCC et la CENI ont fermé les yeux sur la candidature d’un étranger.
Cette fois-ci, c’est pire. Les candidats de l’opposition dénoncent les actes anti-démocratiques dont les électeurs sont au courant. On achète les voix par tous les moyens quitte à éliminer physiquement.
On parle aussi d’un boycott général pour faire tomber le pouvoir. Et si cela se produirait ? Tout dépend des électeurs et des acteurs politiques. L’IRMAR est en mauvaise posture et on utilise tous les moyens pour être à Tsimbazaza.
Attention, s’il y aurait boycott, tout va changer. Pour le meilleur ou pour le pire ? Analyses profondes… Trop, c’est trop !
