Madagascar n’appartient plus aux malgaches. L’élu du Peuple, citoyen français s’achemine à le vendre aux étrangers, petit à petit. Plus tard, les malgaches seraient obligés à le louer pour y vivre. Les européens, surtout les français sont les premiers propriétaires, puis les arabes et les chinois. Les russes arrivent également, et bientôt les africains. Un ruandais ou expert israélien va diriger la Jirama, qui est déjà à l’agonie, et essaierait de chercher quelque chose pour y rester.
La mainmise de tous les pouvoirs d’une façon dictatoriale et l’utilisation de la force administrative explique tout. Il faudrait que l’Administration, l’Exécutif et le Législatif soient entre les mains de l’élu du Peuple, citoyen français pour que tout se réalise. Ce conditionnel est de rigueur. La France, son pays adoptif, offre les moyens financiers et humains pour tout séquestrer. On commence par le transport aérien, et aboutir aux richesses naturelles. Tous les étrangers sont intéressés par les domaines du sous-sol et les bords de mer. Déjà, des ventes ont été faites, mais par silence. Les nationaux sont avertis tardivement quand l’exploitation débute. Etonnement ! Les députés ferment les yeux, et les lois sont votées. Le cas Gemsfield confirme les actes de corruption.
La population devrait connaître les réalités et les informations de son pays. Mais depuis, on les cache. Ce manque de transparence entraîne une attitude de soumission au pouvoir en place, et une exploitation de l’homme par l’homme. L’ignorance aboutit à la sujétion. Madagascar appartient aux malgaches ! Qu’on le sache en haut lieu.
L’engouement politique de vouloir détenir tous les sièges à l’Assemblée nationale est une tactique de tout mettre à sac les pouvoirs. Les populations électives doivent comprendre cette situation de dépendance et de bien analyser avant d’agir. L’opposition a un rôle de faire comprendre l’importance de cette intention du pouvoir actuel. Le pays est vendu, Danger !
