Si on veut, on pourrait avoir les résultats des élections dans la soirée du 9 novembre 2023 à 21 heures. C’est fort possible si la Ceni s’y met. L’administration n’a jamais voulu cette innovation pour rallonger et retarder les résultats pour les changer en cours de route en faveur de leur candidat.
Le Gouvernent Ntsay évite la session de questions-réponses à l’Assemblée Nationale, où tout un scénario à été monté pour que tout soit vrai. D’abord, tout commence par une séance de destitution de quelques membres du bureau permanent sur une ambiance de fausses signatures et des accusations non fondées.
On comprend maintenant pourquoi Madagascar a choisi la neutralité concernant la crise en Ukraine. Le candidat qui briguait le pouvoir présidentiel en 2018 aurait contracté des accords avec la Russie en matière d’armement pour installer Wagner sur des exploitations minières, en particulier le chrome.
La population a compris pourquoi le pays sombre dans la misère et pourquoi la pauvreté persiste jusqu’à ce jour. C’est clair maintenant. La France y est pour quelque chose, et c’est depuis belle lurette.
La Directrice Générale de la Caisse Nationale de la Prévention Sociale (Cnaps) par intérim est sous les verrous. C’est la vie à Madagascar. Après les affaires montées contre Lola Rasoamaharo, voilà que la DG de la vache à lait de l’État est emprisonnée à Antanimora.
C’était aujourd’hui, à Mahamasina, le dernier défilé de Vazaha avant son retour pour Renimalala, son choix, sa patrie qu’il a choisie en 2014 selon le document de naturalisation française. Pour cette fois-ci, il a voulu que des militaires français participent à son dernier défilé, en guise de souvenir pour Madagascar.
Il faut être sans vergogne pour se présenter devant le monde qu’on est Président d’un pays tout étant un étranger à un Sommet mondial à Paris. Mais c’est une réalité pour Vazaha.
Notre Grand dirigeant est de nationalité Vazaha. Ce n’est pas étonnant, quand on regarde ce qu’il a fait pour un pays qui n’est le sien. La pauvreté totale, avec les dettes et la misère. C’est l’image de ses réalisations en terre étrangère.
Le pays perd de l’espoir d’aller en avant. Les représentants du Peuple abandonnent leur poste à Tsimbazaza, et l’exécutif, par l’intermédiaire de son Chef, n’engage plus de débats sur leurs responsabilités envers le pays. Il suffit de distribuer des copies et le tour est joué. On lève les mains, et c’est acquis. À la prochaine.
Des changements de tête s’effectuent au niveau de la Justice à Madagascar. Ça n’intéresse plus le monde, tellement, ceux ou celles qui étaient là ont terni l’image de l’institution qui prétend défendre les faibles.