Arnaque !

Le bordel règne à Bevoay, sur le bac qui traverse vers Manja. Oui, il faut préparer 200.000 ariary pour une voiture, alors que d’habitude, on ne paye pas car le bac appartient à l’Etat. Ce dernier a disparu, et on ne sait plus de son devenir.

Fermeté !

C’est le mot d’ordre que les opposants devraient adopter face aux lacunes des résultats des législatives. Il est démontré que des falsifications ont été faites pour renverser le scrutin à l’avantage du parti du pouvoir, et c’est une atteinte à la liberté des citoyens.

Las !

Voter à Madagascar n’est plus une expression démocratique, où le Peuple ne peut plus s’exprimer librement. Oui ! Le vote est devenu une horreur qu’il est difficile de penser le refaire dans les années à venir. Le citoyen a perdu son droit et son honneur avec les agissements honteux de la CENI et de la HCC, sous les ordres de l’élu du Peuple, citoyen français.

Troubles !

L’élu du Peuple, citoyen français attise les troubles à travers le territoire, ne supportant pas les défaites dans les législatives. Des irrégularités et des tricheries ont été constatées dans plusieurs districts de Madagascar, où l’IRMAR est vaincue par leurs adversaires de l’opposition ou des indépendants.

Lenteur administrative !

Les résultats du scrutin des législatives tardent à venir, et à l’heure qu’elle est, on devrait connaître les noms des nouveaux députés. Non ! La liste n’est pas prête et il faudrait encore des semaines pour que l’administration arrive à tout compiler.

Honnêteté !

Il est temps d’arrêter les mauvaises pratiques électorales. Soyons honnêtes et respectons nos lois en vigueur. Tous dirigeants ont déclaré la bonne foi avant de prendre les directives d’une Nation. Tous les hauts responsables étatiques ont juré de respecter les droits humains et une justice équitable dans le respect de tout un chacun. Il reste à savoir s’ils tiennent parole.

Choix !

Il n’est plus question de choisir dans ces législatives. Il n’est plus question de faire le mauvais choix. Chacun est libre de son avenir. Si l’électeur veut être Orange, c’est son choix, il veut subir les 5 mauvaises années de sa vie où rien ne va plus dans un pays en perdition.